Une yourte dans la drôme

Vivre très simplement, à moindre frais, dans un univers qui vous élève, c'est possible. Evidemment le relatif dénument que cela implique fait peur. Ce n'est pas une maison, ce n'est pas en dur.

Souvent, je me demande pourquoi les maison de pierre ou de bois, le solide, le grand et l'imposant nous rassurent à ce point, alors que rien ne perdure jamais, et surtout pas nous. Mais peut-être est-ce là la vraie et unique raison qui pousse les hommes à préférer les maisons en dur, la propriété individuelle...



Mais nous ne sommes pas tous "bâtis" pour vivre la vie de la campagne. Certains (Moi ?) sont des citadins. Ils ont besoin de l'énergie de la ville, de cette promiscuité, de son grouillement. Je suis convaincu pourtant que des solutions sont possibles pour permettre d'être moins dépendant de l'instinct de propriété, de l'argent, d'être plus solidaires. Après tout, un habitat collectif, avec des services mis en communs (buanderie, cuisine, salle commune) devrait pouvoir voir le jour sans que cela soit vécu comme dégradant, désagrable ou collectiviste à la soviétique. Cela suppose une légère ouverture, un peu moins d'individualisme. Considérer son voisin autrement que comme une chasse d'eau trop bruyante ou une porte qui claque à l'étage du dessus, c'est finalement bien peu de chose...

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samedi 29 mars 2008

Une yourte dans la drôme

Vivre très simplement, à moindre frais, dans un univers qui vous élève, c'est possible. Evidemment le relatif dénument que cela implique fait peur. Ce n'est pas une maison, ce n'est pas en dur.

Souvent, je me demande pourquoi les maison de pierre ou de bois, le solide, le grand et l'imposant nous rassurent à ce point, alors que rien ne perdure jamais, et surtout pas nous. Mais peut-être est-ce là la vraie et unique raison qui pousse les hommes à préférer les maisons en dur, la propriété individuelle...



Mais nous ne sommes pas tous "bâtis" pour vivre la vie de la campagne. Certains (Moi ?) sont des citadins. Ils ont besoin de l'énergie de la ville, de cette promiscuité, de son grouillement. Je suis convaincu pourtant que des solutions sont possibles pour permettre d'être moins dépendant de l'instinct de propriété, de l'argent, d'être plus solidaires. Après tout, un habitat collectif, avec des services mis en communs (buanderie, cuisine, salle commune) devrait pouvoir voir le jour sans que cela soit vécu comme dégradant, désagrable ou collectiviste à la soviétique. Cela suppose une légère ouverture, un peu moins d'individualisme. Considérer son voisin autrement que comme une chasse d'eau trop bruyante ou une porte qui claque à l'étage du dessus, c'est finalement bien peu de chose...

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